Ecris-moi le ce soir pour ne pas oublier Sombre et sobre à la foi, cet unique regard Il m’a montré si seul, cet étrange reflet Laissons faire le danger, laissons-le prendre part, laissons-le prendre part Mes désirs sans lacune se jouent-ils de ton ombre Ma soif est dans l’abysse, veux-tu que l’on y sombre Aux visages oubliés, il ne reste que le tien Au bien furtif trouble, à l’envie de nos mains, à l’envie de nos mains Imaginons nos nuits, oublions les matins Délaissons les journées et fuyons-les sans fin N’appréhende pas ces hordes, le mépris des vauriens Arrachons toutes ces cordes, découvrons-nous demain, découvrons-nous demain Égaré sur les routes, je rejoins ton chemin Ma vie n’a plus de doute, agitée par l’instinct Si l’horizon s’éloigne, je te crie mon envie Du sommet le plus haut, de sceller nos deux vies, de sceller nos deux vies Le radeau des alliances s’est échoué sur nous deux Libéré de méfiance, j’ai vu couler tes yeux Partageons notre joie à voir grandir l’essentiel Les parents, les amis seront tous éternels, seront tous éternels Il se répand là dans mon cœur, L’instant, l’instant du bonheur Le premier cri, l’éveil Il est là Et vous, vous êtes là Et vous, vous êtes là Et vous, vous êtes là Et vous, vous êtes là
Auteur : Alain Domergue
Chanson par Léo Merle
