A pas de géant, à la conquête de l’espace Ultime voyage vers un monde sans fous Où l'orgueil et l'égo n'ont pas de place Seuls l’honneur, l’amour et le droit d’être debout Vivre sur un astre sans signes délétères Quant à l'aube les silences deviennent cris d'enfants Où se mêlent mélancolies célestes aux chants solaires Je veux des rires, de la joie, changer le sens des souffrants Je serai de ce monde prince stellaire A cultiver des baobabs pour nourrir mon mouton Au coucher du soleil, de rêver à la terre Au souvenir de ne plus voir tous ces milliers de cons Aux prophètes je dois cet avenir sans guerre Aux profits de nos choix au dépend des combats Et si mes volcans vous semblent précaires Je me défends à définir leurs débats Ici les hommes ont tous un rêve Qu’ils soient roi, vaniteux et le honteux d’être lui-même Seul le riche et son droit de faire grève A défendre les pauvres est devenu un emblème Je serai de ce monde prince stellaire A cultiver des baobabs pour nourrir mon mouton Au coucher du soleil, de rêver à la terre Au souvenir de ne plus voir ces milliers de cons Adieu si l’essentiel est par les yeux Adieu Dès lors l’essentiel est par le cœur Dès lors l’essentiel est par le cœur A pas de géant, à la conquête de l’espace Ultime voyage vers un monde sans fous Où l'orgueil et l'égo n'ont pas de place Seuls l’honneur, l’amour et le droit de ne plus être à genou
Auteur : Alain Domergue
Chanson par Léo Merle
